Le présent rapport d’observation indépendante est le résultat d’une part de collecte de données sur le terrain et d’autre part d’analyse documentaire. IDEF, ci-après « l’observateur », a utilisé des ressources récoltées lors de précédentes missions sur le terrain au Libéria et a conduit une série d’entretiens avec les membresdes communautés de trois villages (Boundary, Bee Zohn et Jaybo), avec les services locaux (?) de la Liberian Land Authority (LLA), du Forest Development Authority (FDA) de la région de Grand Gedeh et une dizaine de personnes ressources dont des producteurs et des personnes impliquées dans l’installation de travailleurs dans les forêts pour la production de cacao au Libéria.

This independent monitoring report is the result of eld data collection and documentary analysis. IDEF, hereinafter referred to as “the observer”, used resources gathered during previous eld missions in Liberia and conducted a series of interviews with members of communities in three villages (Boundary, Bee Zohn and Jaybo), with local representatives of the Liberian Land Authority (LLA), the Forest Development Authority (FDA) and a dozen resource persons, including producers and people involved in the settlement of workers in the forests for cocoa production in Liberia.

Cette étude vise à partir d’un état des lieux de la transformation du cacao en Côte d’Ivoire en
relevant les opportunités et les défis afin de formuler des recommandations pour une
amélioration de la situation actuelle. En d’autres termes, elle cherche à répondre à la question
suivante : qu’est-ce qu’il faudrait pour que la transformation des fèves de cacao apporte une
plus-value aux coopératives, aux petites unités de fabrication et aux autres acteurs locaux de la
chaine de valorisation en vue d’améliorer les conditions de vie des producteurs de cacao ?

Le dialogue politique sur le cacao durable entre la Côte d’Ivoire et l’Union Européenne lancé le 22 janvier 2021 est une opportunité pour engager des réformes importantes dans le secteur du cacao. Les organisations de la société civile que nous sommes saluons et soutenons fortement cette initiative. 

Face aux effets négatifs du changement climatique, il est urgent et nécessaire de développer des mécanismes et renforcer les initiatives qui permettront d’accroître la résilience des populations surtout les femmes et les jeunes qui sont les plus vulnérables. 
 
Ce vendredi 13 mai à la COP15, Mlle Martine Zogbe, Directrice Genre et Développement Local à IDEF a eu l’immense plaisir d’intervenir sur l’importance de l’agriculture intelligente et le rôle de la femme dans la lutte contre le changement climatique. 

Le cacao joue un rôle stratégique et indéniable dans le développement économique et social de la Côte
d’Ivoire depuis son indépendance. En 2020, plus de deux millions de tonnes ont été produits soit environ
45 % de la production mondiale. Le secteur représente environ 14 % du Produit Intérieur Brut (PIB) et
près de 6 millions de personnes tirent leurs ressources de la culture du cacao. Il assure une large portion
des recettes d’exportation (40 %). L’Union européenne reste le principal client de la Côte d’Ivoire
puisque 67% des exportations de cacao ivoiriennes y sont destinées.

Le samedi 13 mars 2021 dans la Sous préfecture de Guinglo Tahouake ( département de Bangolo), cette campagne a fait suite à des activités culturelles et sportives. Ce jeudi 18 mars 2021, ce sont les populations de la Sous préfecture de Bagohouo (département de Duekoué) qui ont reçu les messagers de l’IDEF au foyer polyvalent des jeunes.

IDEF écoute et accompagne les communautés à l’élaboration de leurs Plans d’Actions Environnementales et Communautaires (PAEC) pour la gestion participative et intégrée des ressources naturelles. Avec la mise en place de cellules communautaires dans les localités cibles (Tagadi, Debango et Songori) pour la prévention et la gestion rapide des conflits.