Du 24 au 30 mars 2023 IDEF était avec les cellules communautaires pour le suivi et l’évaluation de la gestion, le fonctionnement des AEGR, la mise en œuvre du plan d’action identifié par chaque cellule ainsi que l’impact des actions de cohésion sociale au sein des communautés.
Projet : « Consolidation de la paix dans la zone frontalière du Nord-Est de la Côte d’Ivoire par le biais d’une gestion participante et simplifiée des ressources naturelles » Financé par le Fonds des Nations Unies pour la Consolidation de la Paix.
Du 20 au 21 mars 2023, les autorités membres du comité de suivi ont été formées sur les techniques et outils de collectes de données sur le suivi-évaluation des activités des cellules communautaires de Tagadi, Débango et Songori.
Du 24 octobre au 1er novembre 2022, IDEF a tenu un atelier de formation des cellules communautaires des villages de Debango, Tagadi et Songori à Bondoukou sur l’identification des activités écoresponsables génératrices de revenus (AEGR), le montage de projet des AEGR et les stratégies de mobilisation de cofinancement privé.
Projet : « Consolidation de la paix dans la zone frontalière du Nord-Est de la Côte d’Ivoire par le biais d’une gestion participante et simplifiée des ressources naturelles » Financé par le Fonds des Nations Unies pour la Consolidation de la Paix.
Du 28 septembre au 29 octobre 2022, IDEF a formé les cellules communautaires des villages de Tagadi, Debango et Songori à Bondoukou sur la stratégie de fonctionnement des activités de groupe, la vie associative et la comptabilité simplifiée des Activités Eco Responsable Génératrices de Revenus (AEGR).
Projet : « Consolidation de la paix dans la zone frontalière du Nord-Est de la Côte d’Ivoire par le biais d’une gestion participante et simplifiée des ressources naturelles » Financé par le Fonds des Nations Unies pour la Consolidation de la Paix.
Depuis le lundi 10 octobre dernier, IDEF reçoit la visite de Rosalie Martel Chargée de programme à ClientEarth pour des séances d’échanges sur divers points relatifs au partenariat IDEF/ClientEarth – bilan du partenariat, rencontre B2B, atelier, etc.
Face aux effets négatifs du changement climatique, il est urgent et nécessaire de développer des mécanismes et renforcer les initiatives qui permettront d’accroître la résilience des populations surtout les femmes et les jeunes qui sont les plus vulnérables.
Ce vendredi 13 mai à la COP15, Mlle Martine Zogbe, Directrice Genre et Développement Local à IDEF a eu l’immense plaisir d’intervenir sur l’importance de l’agriculture intelligente et le rôle de la femme dans la lutte contre le changement climatique.
A l’invitation de l’ambassade de l’Union Europénne en Côte d’Ivoire, IDEF a pris part à un petit-déjeuner d’échanges ce mercredi 11 mai 2022.
Cette rencontre s’est tenue en présence de la Directrice Générale de l’environnement de la commission européenne présente à Abidjan dans le cadre de la COP15.
Aux côtés d’autres acteurs du secteur privé et de représentants de coopératives, IDEF a pu partager sa vision de la gestion du secteur cacao en Côte d’Ivoire, parler de son engagement auprès des agriculteurs notamment pour la production de cacao sans déforestation et aussi du rôle que l’observation indépendante pourrait jouer dans la mise en œuvre du règlement européen relatif aux produits liés à la déforestation en discussion actuellement.
C’est en présence de son Excellence Mme Cathérine Brooker – Ambassadrice du Royaume Uni en Côte d’Ivoire, des autorités administratives locales et des autorités coutumières que s’est tenue la cérémonie d’inauguration des pompes hydrauliques villageoises améliorées et de remise d’équipements aux groupements d’AEGR de Diafla et Doufla. Objectif, accompagner les communautés locales à la préservation de la …
Les 11, 12 et 13 avril dernier, IDEF a tenu des activités de sensibilisation des communautés de Tagadi, Songori et Debango sur le rôle des autorités locales et frontalières dans la gestion des ressources naturelles.
Ces activités ont vu la présence effective des autorités administratives locales, les autorités coutumières, les partenaires ainsi qu’une une forte mobilisation des communautés.
Football, théâtre, jeux concours sont entre autres des activités qui ont meublés ces journées.
Les premiers bénéficiaire du projet « Appui à l’autonomisation de 50 femmes et 50 jeunes de Doufla et Diafla à travers le développement d’activités écoresponsables génératrices de revenus » sont formés aux activités de production de miel (apiculture), aviculture (élevage de volailles), fungiculture (culture des champignons), cultures maraichères, etc.
Rappelons que ces activités sont choisies par les bénéficiaires eux-mêmes, avec l’accompagnement et les conseils de IDEF en terme de rentabilité de l’activité, prise en compte du genre, préservation de la forêt et l’environnement
Du 28 mars au 1er avril, en présence des autorités administratives locales, les autorités coutumières et les communautés, IDEF a procédé à la validation des Plans d’Action Environnemental Communautaire – PAEC – des villages de Débango, Songori et Tagadi.
Ces plans d’action permettront aux communautés de gérer de façon durable les ressources naturelles et de prévenir les conflits liés à l’utilisation et au partage de ces ressources.
L’ONG IDEF mène une campagne de sensibilisation sur l’initiative cacao et Forêts (ICF) dans les régions pilotes de l’ouest de la Côte d’Ivoire.
Le samedi 13 mars 2021 dans la Sous préfecture de Guinglo Tahouake ( département de Bangolo), cette campagne a fait suite à des activités culturelles et sportives. Ce jeudi 18 mars 2021, ce sont les populations de la Sous préfecture de Bagohouo (département de Duekoué) qui ont reçu les messagers de l’IDEF au foyer polyvalent des jeunes.
Séguéla– L’organisation non gouvernementale (ONG) ‘’Initiatives pour le Développement communautaire et la conservation de la Forêt’’ (IDEF) a apporté un appui logistique et pédagogique au comité de suivi et de gestion participative de la forêt classée de Séguéla au terme duquel elle a procédé à la remise de certificats de formation aux récipiendaires dans le village de Ouahama, localité située à 23 km du chef-lieu de la région du Worodougou.
A l’initiative de l’Ong IDEF (Association initiative pour le développement communautaire et la conservation de la forêt), avec l’appui technique et financier du Pnud, (Programme des Nations Unis pour le développement) et du Fond pour la consolidation de la paix des Nations unis, Une formation pour la mise en place d’activités écoresponsables génératrices de revenus, (AEGR), s’est déroulée dans les localités de Gandié et de Gbonné dans le département de Biankouma Du 23 au 28 octobre.
« Cette activité vise à former 50 jeunes (femmes et hommes) issus des groupes de 400, soit 5 personnes par groupe et à les appuyer pour le développement des activités écoresponsables génératrices de revenus qui pourront contribuer à l’amélioration des conditions de vie et des revenus de 400 jeunes afin de réduire la pression sur les forêts sacrées », a indiqué le chef de projet Docteur Yao Olivier. Selon lui, ce sont au total, 48 jeunes qui bénéficient de ces différentes formations.
L’Association Initiatives pour le développement communautaire et la conservation de la forêt (IDEF) a initié une série d’activité dans le cadre d’un projet de préservation de la cohésion sociale et la protection inclusive des forêts sacrée dans le département de Biankouma, plus précisément à Gbonné et à Gandié les 11 et 13 septembre 2020. Projet dénommé, « Participation des jeunes à la prévention et à la gestion des conflits identitaires liés à la profanation et à l’exploitation des forêts sacrées dans le département de Biankouma en Côte d’Ivoire » un projet qui bénéficie de l’appui technique et financier du Programme des nations unis pour le développement (PNUD) et du fond de consolidation pour la paix des Nations Unis, en partenariat avec la direction régionale des eaux et forêts.
Ce samedi 11 septembre, l’ONG IDEF a engagé une série d’activité dans le cadre de la mise en œuvre de ce projet. La cérémonie était présidée par le sous-préfet de Gbangbégouiné, Ouattara Gervais représentant le préfet du département de Biankouma empêché.
Le dialogue politique sur le cacao durable entre la Côte d’Ivoire et l’Union Européenne lancé le 22 janvier 2021 est une opportunité pour engager des réformes importantes dans le secteur du cacao. Les organisations de la société civile que nous sommes saluons et soutenons fortement cette initiative. A l’instar du processus de l’Accord de Partenariat Volontaire sur l’Application des règlementations forestières, la gouvernance et les échanges commerciaux (APV FLEGT), ce dialogue doit être inclusif et rigoureux. Il doit permettre à la Côte d’Ivoire d’élaborer une stratégie de développement durable de son secteur cacao comme elle l’a fait pour son secteur forestier ces dernières années. Pour cela, il est important que les engagements dans le cadre de ce dialogue soient basés sur des éléments tangibles, sur des faits observés et surtout sur la réalité du terrain. C’est pourquoi, au moment où l’Union européenne se prépare à adopter un règlement sur les produits liés à la déforestation, il nous a paru nécessaire, en tant qu’organisations de la société civile, de produire ce document pour partager notre réflexion.
The policy dialogue on sustainable cocoa between Côte d’Ivoire and the European Union launched on 22 January 2021 is an opportunity to initiate important reforms in the cocoa sector. We, as civil society organisations, welcome and strongly support this initiative. Like the Voluntary Partnership Agreement on Forest Law Enforcement, Governance and Trade (VPA FLEGT) process, this dialogue must be inclusive and rigorous. It must enable Côte d’Ivoire to develop a strategy for the sustainable development of its cocoa sector as it has done for its forestry sector in recent years. For this to happen, it is important that commitments within this dialogue are based on tangible elements, on observed facts and above all on the reality on the ground. This is why, at a time when the European Union is preparing to adopt a regulation on products linked to deforestation, we felt it was necessary, as civil society organisations, to produce this document to share our thoughts.
